Teaser Tuesday #113

Mean streak de Sandra Brown

[Contexte: Emory pose une question au héros, à laquelle il répond par une démonstration plutôt convainquante   ]

— Les frères se battaient quand je suis venue vous chercher. C'était à quel sujet ?
— Moi.
— Vous ?
— Will m'a demandé si j'étais homo.
— L'idiot. Qu'avez-vous dit ?
Il la regarda un moment, puis retira la main de la poignée, la posa derrière sa nuque sous ses cheveux, et l'attira pour recevoir son baiser – un baiser bouche ouverte, explorateur, évocateur et non timide, qui commença lentement mais très vite pris une urgence à peine contenue.
Il l'embrassait comme il le pensait, comme si son baiser était la dernière chose qu'il faisait sur Terre, et il le faisait bien, à fond, et ne laissait que du désir.
Mais ça n'était pas assez, et à en juger par sa respiration haletante, ça ne lui suffisait pas à lui non plus.
D'une voix rauque, il dit:
— Je lui ai dit non.

After issuing a solemn Amen, which was echoed by everyone at the table, Frank looked up, still holding tightly to his wife's and son's hand.
"Never forget that family is the most important thing. No matter how far your life takes you away, your family is always here. And if you're nothing else in this world, you're a Kelly, and that makes you loved."

Traduction maison:

Peter, un des prétendants de Liz, l'accompagne chez la fleuriste
- Que faites-vous ? m'enquis-je perplexe. 
- Je vous accompagne chez la fleuriste. Si vous êtes sage, je vous offrirai...
- Des roses ? l'interrompis-je. N'est-ce pas un peu cliché ?
- Totalement. Je pensais plutôt à un cactus. Tout à fait approprié à la femme que vous êtes. Nous devrions nous dépêcher, nous somme attendus.

Liz n'arrête pas de se faire piéger par ses hommes
Quelle belle preuve d'intelligence, me fustigeai-je. Après M.Aston Martin et son égo démesuré, voilà que je me heurtais à un Canadien qui avait oublié d'être bête.

Des techniques de dragues pas très au point
- Liz, vous êtes l'incarnation d'Alcatraz! assena t-il avec un sérieux désarmant.
- Jonathan, sans vouloir remettre en cause vos techniques de séduction, comparer une femme à une prison n'est pas vraiment une bonne idée. 

Distact a écrit:C'est la première fois que je participe et je vous met un extrait de ma lecture actuelle, ce n'est pas une nouveauté mais c'est un roman très prenant:



"Au cours des derniers jours, tandis qu'il attendait d'être emmené au marché aux esclaves, il avait tout fait pour pardonner à ce garçon de n'avoir pas assez prêté attention au malaise perçu par ses amis et aux mises en garde des seigneurs de guerre, lorsque la sorcière était entrée dans l'auberge. Il aurait dû regarder au-delà des apparences, sentir le mal que dissimulaient ce beau visage et ce corps voluptueux, ne pas succomber au piège de la séduction avec tant d'empressement...
Il avait cru les promesses murmurées d'éternels ébats nocturnes. Tout au plaisir niché entre ses jambes, il avait permis à cette sorcière de glisser un anneau d'or autour de sa queue, uniquement parce que, d'une moue enjôleuse, elle lui avait décrit toutes les choses coquines qu'elle voulait faire avec lui et pour lui. A la condition qu'il porte un Anneau d'obéissance, car il fallait qu'elle puisse contrôler un peu sa passion."

Attila a écrit:

Distact a écrit:C'est la première fois que je participe et je vous met un extrait de ma lecture actuelle, ce n'est pas une nouveauté mais c'est un roman très prenant:



"Au cours des derniers jours, tandis qu'il attendait d'être emmené au marché aux esclaves, il avait tout fait pour pardonner à ce garçon de n'avoir pas assez prêté attention au malaise perçu par ses amis et aux mises en garde des seigneurs de guerre, lorsque la sorcière était entrée dans l'auberge. Il aurait dû regarder au-delà des apparences, sentir le mal que dissimulaient ce beau visage et ce corps voluptueux, ne pas succomber au piège de la séduction avec tant d'empressement...
Il avait cru les promesses murmurées d'éternels ébats nocturnes. Tout au plaisir niché entre ses jambes, il avait permis à cette sorcière de glisser un anneau d'or autour de sa queue, uniquement parce que, d'une moue enjôleuse, elle lui avait décrit toutes les choses coquines qu'elle voulait faire avec lui et pour lui. A la condition qu'il porte un Anneau d'obéissance, car il fallait qu'elle puisse contrôler un peu sa passion."

Merci à toutes pour tous ces beaux extraits mais plus particulièrement à toi Distact !

J'ai lu La trilogie des Joyaux Noirs ( dont L'Anneau Invisible que tu nous propose ici est en fait un Hors Série de la trilogie ), et j'ai été fascinée par ma lecture, c'est violent, sombre, perturbant, dérangeant sans doute pour certains lecteurs ( chose que je peux comprendre ) mais j'ai totalement adhéré à cet univers qu'a créé Anne Bishop !

Cela me fait penser que j'ai Meg Corbyn qui m'attend encore dans ma Pal, il faut que je pense à lire celui ci aussi, alors merci pour l'idée, et si tu n'as pas lu La trilogie des Joyaux Noirs vraiment je te la conseille 

For example, a few days ago I was sitting behind the book counter, my legs crossed, my head bent, going through receipts and drinking a cappuccino. (...) Eddie and Duke were standing across from me at the book counter so that meant I was also engaged in ignoring Eddie. Then, all of a sudden, Eddie’s hand came into my line of vision and, just as sudden, his thumb swiped my upper lip. My head jerked up and I stared at him, my lip tingling. “Foam,” he said, dipping his head to indicate my cappuccino. My face started burning, I stared down at my cappuccino and, get this… when I looked back up, Eddie was again listening to Duke, for all the world like I wasn’t even there, but he put his thumb in his mouth to suck off my foam.

“Do you have a problem with me?” Eddie asked again, his eyes looking into mine and I was in a stark realization that I’d never been this close to him. He had great eyelashes and his irises were so dark, they seemed to go on forever. I realized he’d asked a question and I’d forgotten it again. “Pardon?” I asked, well, kind of breathed because, at the last second, I realized I didn’t have a lot of breath in my lungs. That’s when his eyes changed from assessing to something else. I saw the dimple in his cheek before his lips formed a smile. He tugged on my wrist gently and brought me even closer. So close my body was nearly touching his and he had to bend his head further to look down at me. “I asked if you had a problem with me,” he said. “Well, yeah,” I answered, my mouth disengaged from my mind. His head bent a little further and, I kid you not, he was so close I could almost kiss him. “What kind of problem?” he asked. His voice was low, almost a whisper. Something was happening to his eyes, they’d gone liquid and I felt a similar sensation in my bones. “I have a little trouble with…” How could I put it? “Your kind.
I meant his kind as in guys who were hot. Guys who were hot made me tongue-tied, clumsy and shy. I don’t think Eddie took it that way because his liquid eyes turned hard and glittery and his hand at my wrist tightened and not in a good way. Still, I was in a daze so I didn’t really register this at first. “My… kind?” he asked. “Yeah,” I answered. He let me go as if touching my skin was like getting burned with acid. He handed me the Coke and, without a word, walked out of the room. As I stood there and the daze lifted, it came to me what I said must have sounded like. “Fuck!” I hissed to myself. Usually I tried not to say the f-word but some occasions demanded it. This was one of those occasions because I’d never have the courage to tell Eddie what I really meant and now he thought I was a racist